Entre résonances et héritages : les correspondances littéraires dans Vie et mort d’un étang de Marie Gevers et Il pleut dans ma maison de Paul Willems

Karolina Tymura

doi:10.18778/1505-9065.20.2.07

Auteurs

Karolina Tymura Université Marie Curie-Skłodowska https://orcid.org/0009-0007-7955-1305

DOI :

https://doi.org/10.18778/1505-9065.20.2.07

Mots-clés :

nature, étang, littérature belge, réalisme magique, écopoétique

Résumé

L’œuvre de Marie Gevers et Paul Willems propose un regard poétique et philosophique sur la nature. À travers l’eau, les paysages et le rythme cyclique du temps, ils offrent une réflexion sur la condition humaine, la mort, et la beauté fragile de l’existence en harmonie avec le monde naturel. Vie et mort d’un étang (1950) de Gevers et Il pleut dans ma maison (1962) de Willems se distinguent non seulement par leur capacité à donner voix à la nature, mais aussi par les correspondances subtiles qui instaurent un dialogue entre leurs œuvres. L’article propose une analyse de ces œuvres de Gevers et de Willems en s’appuyant sur la perspective écopoétique et sur des courants philosophiques anciens et modernes. Il met en lumière la manière dont ces auteurs confèrent à la nature un rôle central et autonome dans leurs récits.

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Biographie de l'auteur

Karolina Tymura, Université Marie Curie-Skłodowska

Karolina Tymura – étudiante à l’École Doctorale des Sciences Humaines et des Arts de l’Université Maria Curie-Skłodowska à Lublin. Elle est fascinée par la littérature, notamment les œuvres belges, et en particulier les drames de Paul Willems. Elle a rédigé son mémoire de maîtrise sur le réalisme magique dans les œuvres de cet auteur belge et elle a déjà publié des textes sur l’œuvre de l’auteur, y compris une analyse des figures féminines dans ses œuvres sélectionnées. Elle envisage de décrire et d’analyser en détail les œuvres de Paul Willems, non seulement dramatiques mais aussi prosaïques, dans sa thèse de doctorat.

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